L’impact de la consommation d’alcool au fil des années

La force de l’âge fait que le corps a plus de difficultés à accepter les excès de la vie. Après des années et des années à supporter les écarts, l’organisme sonne l’alarme et il devient indispensable de faire attention. Cette restriction devient alors une forme de contrainte et une impression que l’on ne profite plus assez de petits plaisirs simples. Est-il possible d’allier, bonne hygiène de vie et épicurisme ?

 

Les effets néfastes de l’alcool sur l’organisme avec l’âge

A tout âge, l’alcool fait partie des grands ennemis du corps et de l’esprit selon le degré d’importance de sa consommation. La santé d’un individu peut être impactée à court ou long terme par l’alcool. On parle de court terme pour toutes les répercussions que l’alcool peut avoir durant l’ivresse : incapacité à réagir à des facteurs extérieurs, perte de conscience, perte de la notion de danger, réaction démesurée…

Sur le long terme, nous parlons de maladies graves telles que : les cancers, maladies cardio-vasculaires et du système nerveux, et aussi, alcoolisme, un fléau pour l’individu et son entourage.

Les effets d’une consommation d’alcool à un âge avancé se caractérisent sous plusieurs formes en plus des maladies dues au vieillissement naturel du corps. Les troubles cognitifs du comportement et la confusion mentale sont des répercutions indéniables dû à une consommation d’alcool excessive.

L’âge et l’alcool ne font donc pas bon ménage, il faut ainsi prendre des précotions le plus tôt possible afin d’en atténuer les conséquences. Principalement avec une prise de médicaments, le degré de vigilance doit être à son comble. Suivre les recommandations du médecin est indispensable car les deux associés dans certains cas peuvent avoir des effets négatifs sévères.

La consommation d’alcool doit être contrôler et ne doit pas être faite dans l’excès. Selon les recommandations du ministère de la santé, la consommation d’alcool « c’est un verre par jour et pas tous les jours ». Il est bon de respecter cette règle pour le bien-être de l’organisme et de son bon fonctionnement. Mais si l’on ne boit plus d’alcool, comment peut-on réitérer une habitude culturellement ancrée, continuer de cultiver un sentiment d’appartenance, participer de la même manière à une sociabilisation tourner vers un verre porteur de festivité, trouver du plaisir dans les échanges ou épicer un quotidien ?

 

@Shutterstock

L’alternative du sans alcool

Ce que l’on aime grâce à un moment de consommation d’alcool, c’est l’idée de décompresser, de passer un bon moment entouré de ses proches et d’avoir la sensation de profiter de la vie. Mais les produits alcoolisés ne sont pas les seuls à pouvoir procurer cette sensation. La curiosité peut aisément se tourner vers des alternatives tout aussi gouteuses. Les possibilités sont nombreuses et deviennent tendances. Consommer des boissons sans alcool est devenu depuis quelques temps un incontournable. Des bars, des restaurants, des épiceries et des supermarchés se mettent à la page. Cocktails sans alcool, vin désalcoolisés ou non fermentés, spiritueux sans alcool, bières sans alcool : une palette de potentialités s’offre aux différents goûts.

En plus de faire disparaitre les effets néfastes de l’alcool, les bienfaits que peuvent procurer ses produits sont bien là. 

Cette nouvelle tendance est recommandée et est saluée par les professionnels du corps médical qui y voient une opportunité de réduction potentielle des maladies dû à la prise l’alcool par les populations séniors. Consommer mieux et mieux vivre est le nouveau leitmotiv du 21ème siècle. 

@Shutterstock

Partager ce post